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Les connaissances anciennes   & La magie verte

Presentation

L' origine des pratiques Vaudou.

Le vaudou est né de la rencontre des cultes traditionnels des dieux yorubas et des divinités fon et ewe, lors de la création puis l'expansion du royaume Fon d'Abomey aux XVIIe et XVIIIe siècles.

Le vaudou est le fondement culturel des peuples qui sont issus par migrations successives de Tado au Togo, les Aja (dont les Fons, les Gouns, les Ewe… et dans une certaine mesure les Yoruba…) peuples qui constituent un élément important des populations au sud des États du Golfe du Bénin (Bénin, Togo, Ghana, Nigéria…).

Le mot vaudou provient du terme vodoun de langue Fon. Le "n" final de vodoun, quasi inaudible par les occidentaux qui ne pouvaient percevoir les subtilités sonores de cette langue, fût retiré, donnant ainsi le terme vaudou, ayant plusieurs orthographes selon les pays en fonction de ce que les colons ont phonétiquement rapporté. Le terme vaudou n'existe d'ailleurs pas au Bénin et c'est bien le terme de langue fon qui est employé pour désigner cette pratique. Le mot Fon vodoun est lui-même tiré d'un mot Yoruba signifiant « dieu ». Le vaudou désigne donc l'ensemble des dieux ou des forces invisibles dont les hommes essaient de se concilier la puissance ou la bienveillance. Il est l'affirmation d'un monde surnaturel, mais aussi l'ensemble des procédures permettant d'entrer en relation avec celui-ci. Le vaudou correspond au culte yoruba des Orishas. De même que le vaudou est un culte à l'esprit du monde de l'invisible. À chaque ouverture, le prêtre vodoun demande l'aide de l'esprit de Papa Legba pour ouvrir les portes des deux mondes.

Le vaudou peut être décrit comme une culture, un héritage, une philosophie, un art, des danses, un langage, un art de la médecine, un style de musique, une justice, un pouvoir, une tradition orale et des rites.

Avec la traite négrière, la culture vaudoue s'est étendue à l'Amérique et aux îles des Caraïbes, notamment Haïti. Elle se caractérise par les rites d'« incorporation » (possession volontaire et provisoire par les esprits), les sacrifices d'animaux, la croyance aux morts vivants (zombies) et en la possibilité de leur création artificielle, ainsi que la pratique de la sorcellerie sur des poupées à épingles (poupée vaudou).

La pratique de leur religion et culture était interdite par les colons, passible de mort ou d'emprisonnement, et se pratiquait par conséquent en secret. Le vaudou a cependant intégré les rites et conceptions catholiques, le rendant ainsi acceptable. Ainsi est né le « vaudou chrétien ».

Dans les années 1950, le Vatican a fait la paix avec le culte vaudou.

Le vaudou a perduré et ses pratiquants affichent sans craintes leur croyance.

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holass
Why Naturopathy

Pourquoi le voodoo dans la tradition africaine?

Regardez  la puissance  du voodoo dans la vie quotidienne des africains.

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LE FA

le fâ est un guide, un éclaireur qui permet d’avoir une vision claire  par rapport à un individu depuis sa conception jusqu’à sa mort et même 16 ans après sa mort. Le fâ nous permet également d’avoir des visions précises sur des préoccupations précises telles que le mariage, le voyage. C’est une lumière des hommes qui tire sa source du grand nom divin.

Le fâ est également « médecin » parce que rien qu’à partir des tracés du fâ, nous pouvons guérir les maladies les plus élémentaires qui se présentent à nous. Il y a d’autres potentialités sur le plan de la prospérité. Nous avons beaucoup de vertus du fâ que nous pouvons utiliser pour harmoniser le foyer, pour retrouver un emploi, pour faire prospérer une société, pour assurer sa protection et son autodéfense. C’est un gisement de potentialités.

LA VIE

Quelle est la signification de la vie ? Comment puis-je trouver l'épanouissement et la satisfaction et un but dans la vie ? Est-ce que j'aurai le potentiel d'accomplir quelque chose de significatif et qui ne sera pas éphémère ?

Certaines personnes ne cessent jamais de remettre en question le vrai sens de la vie. Après plusieurs années, elles regardent derrière et se demandent pourquoi leurs relations ont échoué et pourquoi elles se sentent si vides, même après avoir réussi à atteindre les buts qu'elles s'étaient fixés.

Un joueur de baseball qui s'est rendu au temple de la renommée, s'est fait demander quel conseil il aurait voulu qu'on lui donne lorsqu'il a commencé sa carrière de joueur de baseball. Il répondit: "J'aurais aimé qu'on me dise : « lorsque tu seras arrivé au sommet, tu n’y trouveras rien". Plusieurs objectifs ne révèlent leur vide qu'après qu’on ait perdu plusieurs années à les poursuivre.

 

 

Dans notre société humaniste, le gens poursuit plusieurs buts, pensant y trouver leur raison d'être. Voici quelques-uns de ces buts: le succès en affaires, la prospérité, de bonnes relations, le sexe, le divertissement, faire du bien aux autres, etc. …

LA SPIRITUALITÉ

La spiritualité en Afrique, l'humanité étant née en Afrique, c'est le continent africain (Kamite) qui voit naître pour la première fois la religion. Durant l'antiquité africaine, en Nubie, la première religion, qui était monothéiste, apparaît avec le culte de Dieu, sous son nom de Râ appelé aussi Amon ou Atoum, entre autres. Quelque centaines d'années plus tard, en basse-Égypte, le pharaon Aménhotep IV ou Akhenaton, privilégie dans le monothéisme égyptien, le nom de Dieu Atona-Ankh, qu'il symbolise avec le soleil qui dispense la vie, et que nul peut atteindre.Face à la multiplicité des noms de Dieu dans l'Égypte antique, chaque pharaon, selon sa sensibilité, préféra privilégier tel ou tel nom de Dieu. Les divers noms de Dieu sont présents selon ce que l'on considère comme ses diverses manifestations, ses caractères. C'est ainsi que dans la religion africaine, Dieu est considéré comme androgyne, à la fois mère et père de l'humanité et de la création. Dans l'islam Dieu, nommé Allah, porte 99 noms, le 100ème étant inconnu, et il est libre à chacun de le nommer parmi ses 99 noms. C'est héritage de la multiplicité des noms de Dieu de l'antiquité Égypto-Nubienne.

Tout comme la Grèce Antique pour l'Europe, l'Égypte antique étant la base de toutes les traditions africaines actuelles, les religions africaines modernes découlent de la religion africaine antique, dont le vaudou, le bwiti, etc. Toutes les religions africaines traditionnelles descendent directement de la religion antique. Il a été prouvé que la religion de l'Égypte antique est la principale base des trois religions Abrahamiques. La plupart des religions africaines traditionnelles sont souvent considérées, à tort, comme des religions polythéistes. Ce que l'on prend pour des Dieux ne sont que des hypostases de l'entité suprême, ou des ancêtres "divinisés". Ceci peut être observé dans toutes les religions, avec les dévotions dues aux saints, la reconnaissance des hiérarchies célestes, appelées communément anges, archanges, etc. Il n'y a jamais qu'un Dieu qui est considéré comme le seul Dieu digne de ce nom, par exemple, le dieu Amma des Dogons du Mali, ou le dieu Rog des Sereres du Senegal, le dieu Mawu de la religion Vaudou, le Dieu Nzambé des Bakongo, Nyamé des Fangs, etc. Dans la religion africaine antique, les hypostases portaient le nom de Neteru, d'où les Ausar (osiris), Djehuty (Thot), Heru (Horus), etc. Issu de Dieu l'unique, au même titre que le reste de la création. Les religions africaines moderne gardent les mêmes schémas, les Neteru de la religion antique, porte le nom de Shango chez les vaudou, Ngolo chez les Bantous, de Nommo chez les Dogons, ect. La religion africaine, par rapport aux autres spiritualités, est surtout marquée par la pratique du "Culte des Ancêtres", la croyance en la Réincarnation, le matriarcat, le totémisme, l'androgynie et l'impartialité de Dieu, les sociétés initiatiques.Relation a Dieu et aux ancêtres:Le "culte des ancêtres", dans la religion africaine, représente certes une composante importante, mais ne constitue pas l'essentiel de la pratique, contrairement a ce qu'il en est généralement conclut.

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LA SANTE

La population africaine avant l’esclavage est estimée à plus de 800 millions, et après l’esclavage elle avoisinnait les 250 millions. Vous conviendrez avec moi que pour qu’une population atteigne 800 millions il faut qu’elle bénéficie d’une situation sanitaire assez solide.

La question est de savoir la nature du système sanitaire dont bénéficiaient nos ancêtres. On ne me dira pas qu’ils se soignaient au Paracétamol et à l’Aspirine. J’en douterai très fort. D’autant plus que des produits comme la Lomidine, administrés de force pendant la colonisation aux populations dans le prétendu but de les guérir de la « maladie du sommeil » a plus servi à les exterminer qu’autre chose.
Quoi qu’il en soit, il est clair que les recettes utilisées ont été efficaces, au point d’avoir pu maintenir en vie et en bonne santé des millions de personnes, dont des hommes et femmes plus tard jugés assez robustes pour être déportés sur des terres étrangères afin de mettre malgré eux leur robustesse au service du développement de leurs oppresseurs.

La médecine traditionnelle fait partie intégrante de l’identité socio-culturelle africaine. Contrairement à la Chine qui en a fait un tremplin mondialement reconnu et qui en tire d’importants bénéfices financiers, le domaine a longtemps été marginalisé sous nos cieux. Il est temps qu’il soit repensé et que l’attention qui lui est due lui soit accordée.
On ne le dira jamais assez, l’Afrique a un besoin impératif de sortir de ce schéma de pensée aliénant qui consiste à diaboliser, à sous estimer et à fouler du pied les réalisations locales car elles sont censées représenter sur l’échiquier mondial la productivité et l’authenticité qui nous caractérisent.

LES PROBLÈMES  DE LA VIE

En Afrique de l' ouest , comme dans le reste  des pays du continent, plus de 80 % de la population ont recours à la médecine traditionnelle et aux plantes pour leurs soins  primaires et leurs divers problèmes de la vie .

L' art de guerir par les plantes est connu et pratiqué en Afrique  depuis bien  longtemps, car il exploite les savoirs transmis oralement de generation en generation à certains catégories de personnes initiés que sont les tradipraticiens de santé  et les herboristes . Les plantes médicinales, la croyance voodoo et les connaissances relatives de la nature sont un patrimoine important pour ce continent

LA MORT

Le « culte des ancêtres », dans les religions africaines, représente certes une composante importante, mais ne constitue pas l'essentiel de la pratique, contrairement à ce qu'il en est généralement conclu.

Pour beaucoup, le terme « culte des ancêtres » est inapproprié dans le cas de la spiritualité africaine1. Les ancêtres sanctifiés, ayant respecté les préceptes divins, sont honorés par des prières et des offrandes d'hommages pour pouvoir bénéficier de leur bienveillance. Ceux-ci sont perçus comme pouvant intercéder entre Dieu et les hommes. La bienveillance, pour les ancêtres sanctifiés, est admise comme nécessaire pour soi-même bénéficier de bonnes retombées dans la vie.

La dévotion due aux ancêtres s'inscrit donc dans une volonté d'harmonie entre l'au-delà et le monde physique des hommes. Si cette harmonie n'est pas respectée, il se crée un déséquilibre qui peut être néfaste pour l'homme comme pour le reste de la création. C'est dans ce même souci que le totémisme de la tradition spirituelle africaine existe, mais ici entre les hommes et les autres éléments de la création (animal ou végétal le plus souvent).

Ce sont  toutes ces interrogations et questionnements qui amenèrent les africains à une croyance qui est le voodoo

Testimonials

Témoignages

J'ai pris rendez-vous avec le Professeur Holass , président du groupe des maitres spirituels parce que mon mari était partit avec une seconde et grâce à ses connaissances de la magie verte , cette histoire n'a pas duré. Mon chéri est revenu dans mes bras, il m'aime plus que tout, c'est merveilleux . maintenant si on me fait part d'un problème comme le mien c'est sûr je recommanderai ce professeur de la haute magie africaine.

Manon

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